• Celle qui deviendra sûrement 2207 vient de montrer le bout de son nez...

    La prochaine promet...

    Cliquez sur l'image pour mieux voir...


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  • C'est ce que laisse à penser le Jet Stream.

    Vers la persistance du froid?

    Mise à part la dépression qui radoucit un peu l'air, en ce moment ( visible sur les côte de l'Atlantique sur la carte ) c'est une succession de masses d'air froid qui devrait concerner le pays, en tout cas le Nord, dans les prochains jours.


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  • À Fukushima, on en était réduit à ça : jeter de la flotte, depuis un hélicoptère, sur les réacteurs. Avant ça, BP avait bien peiné avant de reboucher son trou au large de la Louisiane. Quand un volcan islandais éternue, c’est toute l’Europe qui s’enrhume. Et même dix centimètres de neige nous mènent au bord de la panique.
    Alors, est-ce que le système n’arrive pas à bout ? Est-ce que, avec toute notre technologie, on n’est pas en train de rentrer à toute blinde dans le mur écologique ?
    On ne serait pas les premiers à se suicider par l’environnement... Des Sumériens aux Mayas, des Anasazis aux Romains, dans Une Brève histoire de l’extinction en masse des espèces (Agone, 2010), Franz Broswimmer décrit ces civilisations disparues pour cause d’ « écocide ». à nous le tour ?

    Michel Chevalet, sur i>Télé, nous cause de « turbines » , de « générateurs » , de « pressuriseurs » , de « tour aéroréfrigérante » , de « circuit primaire » , de « thermalisation des neutrons » , de « fission des noyaux » , de « fusion du cœur » , etc. On ne comprend rien à tout ce langage savant, mais cette image-là, on la comprenait bien : un hélicoptère qui, haut dans le ciel, lâchait des bonbonnes d’eau. Ça se passait au Japon, pourtant, à deux cents kilomètres de Tokyo, la « capitale du high-tech » , avec Sony, Sharp, Canon, Nikon, Toshiba, Yamaha, avec Tmsuk qui « invente le véhicule pour handicapés du futur » , avec Fujitsu qui « lance le téléphone F04-B pour afficher des vidéos, présentations et photos sur un mur » , avec le groupe informatique japonais NEC qui « travaille sur des lunettes à traduction instantanée » , etc.

    Les yeux du monde étaient braqués sur Fukushima, un monde rempli d’ingénieurs, de chercheurs, de trouveurs, d’experts en à-peu-près-tout, de doctorants hyper pointus, mais au bout du bout, les voilà tout nus, réduits à ça : un hélicoptère qui, haut dans le ciel, lâche des bonbonnes d’eau.
    Comme un vulgaire canadair pour un incendie de forêt.
    Comme un gamin qui pisse sur les braises d’un feu de bois.
    Le degré zéro de la technique.

    Y avait eu BP, déjà. Vous avez oublié ?

    Un problème de chasse d’eau, au large de la Louisiane, à 1 500 mètres sous l’eau, et 40 000 barils de pétrole qui s’échappaient chaque jour. On était, cette fois, carrément, dans la première puissance économique et militaire du monde, l’empire de la technologie, le pays de la Silicon Valley, et avec juste quoi, comme souci ? Un trou à reboucher. Durant deux mois et demi, ils ont tout essayé, tout déployé, des sous-marins, des barrages flottants, des bras robotiques, des entonnoirs d’avant-garde, quarante-neuf bateaux, avec la ribambelle des techniciens de haut vol, les meilleurs Géo Trouvetou de la planète qui menaient l’opération « Top Kill » pour finalement, impuissants, se déclarer « anéantis, littéralement dégoûtés » .

    Eyjafjöll, aussi.
    Mais si, vous savez, ce volcan islandais. Il éternue, et voilà toute l’Europe qui s’enrhume, toute son élite qui panique, ses avions qui sont cloués au sol, les vacanciers en colère, « les marchandises qui périssent » , « les pièces de rechange non acheminées » , un « scénario -catastrophe » , une perte de 150 millions d’euros pour les cinq premières compagnies aériennes, 650 millions de dollars pour l’économie américaine, etc.

    Et dix centimètres de neige, cet hiver ?
    Des « naufragés de la route » par milliers, les TGV à l’arrêt, les aéroports bloqués – et, au moment de Noël, un « impact sur les ventes entre 1 et 5 % pour la grande distribution » .

    Tout ça, en à peine un an.

    C’est comme si, notre système, qui paraît si solide, si intelligent, avec ses réseaux wifi, ses satellites, ses puces électroniques, eh bien, c’est comme si un rien, quelques flocons, un volcan qui pète, un séisme, suffisaient à le gripper, ce système. Comme s’il ne s’agissait que d’un colosse aux pieds d’argile, prêt à s’écrouler, d’un coup. Avec la technologie comme talon d’Achille. Elle qui fait notre force, notre puissance, en apparence. Mais dont nous sommes devenus dépendants pour chacun de nos gestes (pour écrire, même, tiens, à l’instant – sur ce clavier relié à une centrale).

    À chacun de ces épisodes, j’ai songé à un livre : Une Brève histoire de l’extinction en masse des espèces (Agone, 2010). Et plus particulièrement, à un chapitre de ce livre, le deuxième, « les bévues écologiques de l’Antiquité » . L’auteur, Franz Broswimmer, un universitaire américain, y raconte comment des civilisations, sans doute les plus sophistiquées de leur temps, ont disparu – et en partie à cause, justement, de leurs sophistications. La question, en lisant ça, revient, lancinante : est-ce qu’on emprunte le même chemin, de l’ « écocide » au suicide ? Est-ce que, aveugles, amnésiques, on est condamnés à répéter la même histoire – mais au niveau global, désormais ? Est-ce que plus de technique, constitue la solution (pour une croissance propre, pour plus de sécurité, etc), ou au contraire le problème ?

    La chute par le sel

    Les Sumériens.Sud-ouest asiatique, 3700 à 1600 avant J.C.

    C’était le « jardin d’éden » de la Bible, au départ, on suppose. Avec sa faune, ses moutons à longue queue dans les marais, ses oiseaux à chasser entre les fleuves. Avec sa flore, aussi, ses vignes, les grands jardins de Babylone qui donnent des légumes en abondance. Si cette culture s’avère prospère, c’est grâce, notamment, à l’irrigation. Qui sera la force, mais aussi la faiblesse, des Sumériens. Avec les bons rendements de ses terres, environ 10 % de la population est libérée des travaux agricoles. Dans les villes, naît une société hiérarchisée : une classe supérieure de prêtres et de guerriers, une classe moyenne de marchands et d’artisans. Et des intellectuels, aussi, sans doute : les Sumériens inventent la roue, cartographient des constellations célestes, mettent au point un système arithmétique (en base 60, d’où nos heures de 60 minutes, nos minutes de 60 secondes). Et pour nourrir ces bouches, pour payer leurs impôts, pour exporter, bref, pour que le système tourne, il faut que les paysans produisent en quantité. De plus en plus.

    Mais, justement, l’inverse se produit : les récoltes de blé diminuent. C’est que les sols irrigués se salinisent. On passe donc à l’orge, plus tolérant au sel. Là encore, les moissons déclinent. On sur-irrigue pour compenser. On raccourcit les cycles de jachère – et le problème s’accentue. On déforeste, du coup, pour cultiver de nouvelles terres. Pour bâtir des maisons, également. En quelques siècles, les limites de l’expansion sont atteintes. Les rendements tombent de plus de 40 %. L’agriculture s’effondre – et la civilisation sumérienne avec.

    À Koudougou, 3 600 ans plus tard (environ), je rencontre le père Maurice Oudet, missionnaire au Burkina Faso, en séjour à Paris. Et que me raconte-t-il ? « Nous rencontrons des difficultés avec la préservation des sols. Le système traditionnel fonctionne jusqu’à 30 habitants au kilomètre carré. à 60, si vous n’avez pas changé de système, c’est la catastrophe. C’est que vous avez, en fait, changé de système, mais sans le savoir : vous avez aboli la jachère. Avant, un terrain était cultivé trois années de suite, puis le paysan partait ailleurs. Maintenant, à Koudougou, il n’y a plus de jachère. » J’avais l’impression qu’il me causait de la Mésopotamie…

    Extrait du livre : Dans ces premières civilisations, remarque Franz Broswimmer, « la structure sociale hiérarchique modifie les relations des hommes avec leur environnement. On maximise la production en augmentant la productivité des terres agricoles ou les surfaces cultivées. Accroître la superficie cultivée conduit à défricher des zones boisées, à assécher des marais, et à mettre en culture des terres marginales sensibles à l’érosion et à d’autres formes de dégradations écologiques. L’avènement de sociétés agricoles complexes distend et, souvent, affaiblit le lien entre les hommes et la nature. Celle-ci, normalement milieu de vie de l’agriculteur, devint pour le groupe dominant une sorte d’ensemble de ressources économiques à gérer et à manipuler. Cela est particulièrement vrai des civilisations où les classes dirigeantes sont citadines, comme dans l’Antiquité gréco-romaine. En effet les Grecs, et plus tard les Romains, ne réussissent guère mieux que les Sumériens à produire une civilisation écologiquement durable. »

    La course au bois

    Les Grecs. Méditerranée, 70 à 30 avant J.C.

    « Ce qui subsiste aujourd’hui, comparé avec ce qui existait autrefois, est comme le squelette d’un homme malade. Toute cette terre grasse et molle s’étant épuisée, il ne reste que le squelette décharné du pays. » Une tristesse saisit Platon lorsqu’il regarde son pays. C’est qu’à Athènes, les 100 000 habitants souffrent – déjà – de l’encombrement, du bruit, de la pollution de l’air, de l’accumulation des déchets, des épidémies. Et dans les campagnes alentours, les forêts sont grignotées.

    Pourquoi faire ? La guerre, surtout. Les arbres sont transformés en armes, ou en navires. Dès le milieu du Vème siècle avant J.C., l’Attique est largement déboisée — et les Grecs vont s’en aller, plus loin, toujours plus loin, chercher cette ressource. Comme d’autres le pétrole. Les diplomates athéniens mènent une politique extérieure agressive : à la Macédoine, région forestière, ils font signer des accords avantageux – et quand leurs partenaires refusent, ce sont de nouvelles batailles. Des colons, ou des religieux, sont envoyés sur les côtes boisées d’Italie. Vers la Sicile, le général Alcibiade tente un raid pour accéder à de nouvelles forêts : l’expédition échoue mais, avant la fin de l’Antiquité, les hautes futaies de l’île seront néanmoins rasées. Et derrière, en Grèce, rien ne repousse : les chèvres, ces « sauterelles à cornes » , dévorent le moindre arbuste...

    Extrait du livre : « Le déclin d’Athènes, conclut Franz Brozwimmer, peut donc être lié à son incapacité à entretenir l’écosystème forestier. De grandes parties de ces régions sont maintenant des déserts stériles, la plupart des cités anciennes sont abandonnées, et la population locale actuelle ne garde bien souvent qu’un bref souvenir conscient de son passé social et écologique. Certes, les conflits civils, la guerre, la famine et la maladie ont contribué à la disparition des civilisations anciennes, mais l’appauvrissement de leurs ressources biologiques est l’une des causes principales de leur déclin. La pénurie d’eau et le changement climatique ont dans nombre de cas donné le coup de grâce. »

    Lire la suite : 4000 ans de Fukushima (partie II)

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  • Cet extrait vidéo d'une émission de merde reflète bien des choses. On peut se rassurer en se disant que ce sont des cas extraordinaires, mais je n'en suis pas si sûr...


    Hillary des Ch'tis, la Lune n'est pas un satellite - Video humour


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  • La nuit a encore été agitée.

    M2,5 à 22h16 UT, M2,7 à 2h49 UT et M2 à 4h25 UT. Rien de bien méchant mais c'est très actif et une nouvelle région active va apparaître. SDO étant encore H-S ( j'ai lu que ce serait une rupture de câble sur Terre ) j'ai trouvé une image GEOS 15.

    Nouvelle zone active

    Si SDO est remis en marche, on devrait la découvrir dans la journée.

    Novembre s'annonce très actif.

    Nouvelle zone active


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  • Au bord du gouffre...

    C'est bien connu, l'impôt est fait pratiquement que pour les pauvres.

    Cela fait un petit moment que les nouvelles tombent sur les médias officiels. Des faits connus depuis 10 ans, 15 ans, 20 ans qu'ils font mine de découvrir. Aujourd'hui, c'est le Luxembourg qui est un paradis fiscal ( comme Monaco, les îles anglo-normandes... )

    A ce train là, ils vont comprendre que le 11 Septembre et la guerre contre le terrorisme n'est qu'une mise en scène pour imposer le Nouvel Ordre Mondial à tous les pays réfractaires et, par là même, faire de tous les opposants des terroristes. Mais rien n'est prévu dans les médias avant 2035, quand tout sera fini.

    Mais il y a de grandes chances que cela finisse bien avant.

    Les écolos, pardon, les Djihadistes Verts, les agriculteurs, les buralistes, les professions libérales, les bonnets rouges, les sodomisateurs de mouches sont tous au bord de la crise de nerfs et les étudiants sont sur le point de s'y mettre.

     

    Tout cela n'est pas une surprise et nous savons depuis longtemps que le mur se rapproche.

    Peut-être suffit-il te tendre le bras pour le sentir...

    Peut-être juste un peu plus loin...


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  • C'est le tiercé gagnant de la soirée et de la nuit, pour le Soleil. Rien de bien dangereux mais l'activité solaire reste au beau fixe.

    M3, M3,2 et M5,4

    Avec, cette fois, des éjections de masses coronales. Est ce que 2205 prendrait de la force en arrivant sur nous?

    2192 qui a tant fait parler d'elle le mois dernier est au centre du Soleil, de l'autre côté. Ce qui veut dire qu'elle apparaîtra alors que 2205 sera toujours visible.

    Suspense...


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  • Normal, le jour de la défaite électorale d'Obama, toutes les sondes solaires restent dans le noir... beurk

    Donc, pas beaucoup d'images de cette explosion venant de 2205 ( toujours ).

    Une de GOES 15, la sonde qui mesure les rayons X.

    M7,9

    Et une image Lasco de Soho.

    M7,9

    Bizarrement, l'endroit de l'explosion, en haut à gauche, est très sombre... Explosion sans masse coronale éjectée, visiblement.

    M7,9

    En espérant que SDO se remette vite en route... ( cause de tempête magnétique en cours ?... C'est faible, KP4 maxi ).


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  • Mais ça, on n'en parle pas dans les médias...

    La glace fond de moins en moins...


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  • Hypersensible, anxieux, perfectionniste... Les surdoués adultes sont souvent en décalage malgré leur efforts pour se fondre dans la masse. Voici quelques clés pour mieux les comprendre.

    Des surdoués, vous en avez sûrement autour de vous, mais vous n'avez peut-être jamais pensé à les identifier comme tels. Sans doute connaissez-vous quelqu'un qui vous fascine par ses connaissances, vous charme par son brio et son impertinence ou encore vous agace par de longues explications fourmillant de détails, ou vous interrompt par des questions qui paraissent sans rapport. Vous êtes peut-être intrigué, au contraire, par la retenue et le silence d'un de vos proches. Vous trouvez curieux qu'il ne participe pas à la conversation, tout en ayant l'air de ne pas en laisser passer une miette, par un regard vif posé sur les interlocuteurs et par un commentaire si pertinent tout à coup qu'il fait basculer un échange anodin en réflexion d'une profondeur inattendue. 

    >>> A lire aussi: Adulte surdoué: et si vous l'étiez sans le savoir? 

    Il y a aussi certainement dans votre entourage un râleur invétéré, qui n'est jamais content, de lui-même, des autres et de la manière dont va le monde, qui trouve que les gens ne comprennent rien à rien, que l'on va droit dans le mur et que si on suivait ses idées, tout irait bien mieux, c'est évident. Vous aurez sans doute déjà rencontré une personne qui vous est apparue hypersensible, fortement préoccupée par des sujets bien loin de votre quotidien, facilement anxieuse par rapport à ce qu'elle vit et qui ne vous perturberait pas autant à sa place, quelqu'un qui se dit souvent qu'il ne va pas y arriver et qui semble se compliquer la tâche par un souci du détail qui confine à un perfectionnisme excessif à vos yeux. 

    Des adultes qui dérangent

    Bref, les surdoués ne sont pas que des enfants qui attirent l'attention lorsqu'ils ont des difficultés scolaires incompréhensibles au vu de leur potentiel. Ce sont aussi des adultes qui se vivent souvent en décalage, dans leur univers professionnel comme personnel. Mais est-ce que ce sont eux qui s'excluent ou se marginalisent par leur grande sensibilité, leur sens impérieux de la justice, leur rejet bruyant de l'hypocrisie et des faux-semblants, leur silence face à l'absurdité des choses ou leurs sarcasmes lorsqu'ils n'en peuvent plus de se taire? Ou est-ce que ce sont les autres qui, ne fonctionnant pas sur le même plan, ont les plus grandes difficultés à les intégrer, à accepter leur différence et à ne pas se sentir dévalorisés, ce qui est pourtant la dernière chose que souhaite généralement faire le surdoué

    >>> A lire. Adultes sourdoués: comment gérer la différence? 

    Pourtant, ils font tout pour être comme les autres

    Le grand problème de celui-ci, qui le tenaille depuis l'enfance, est en effet d'essayer au maximum d'avoir l'air comme tout le monde, de ne pas en rajouter pour se faire remarquer, sauf peut-être dans le chahut et les bêtises ou là, son intelligence à faire le pitre pourra le rendre acceptable aux yeux de ses camarades.  

    Il a ainsi tendance à développer un "faux-self", c'est-à-dire une personnalité de façade qui intègre au maximum la norme, celle de son éducation familiale, celle de l'école ou celle des relations avec autrui, telles qu'il les perçoit. Il y met tout son talent et ce n'est qu'en cas d'échec patent qu'il se réfugie dans l'agressivité, la rêverie, le mutisme ou les comportements auto-destructeurs, en réaction à un monde qu'il ne comprend pas et qui ne semble pas non plus comprendre tous les efforts qu'il fait pour se conformer. 

    Par Yvane Wiart, auteur de L'attachement, un instinct oublié (Albin Michel, 2011) et de Petites violences ordinaires: la violence psychologique en famille (Courrier du Livre, 2011), Stress et cancer: quand notre attachement nous joue des tours (DeBoeck, 2014), chercheuse en psychologie à l'Université Paris Descartes. 

    Mise à jour: Face au nombre de réactions à cet article, Yvane Wiart a créé un forum pour que toutes et tous puissent échanger sur ce sujet: http://surdoue-adulte.forumactif.org/.

     

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