• Accélération de la concentration dans la presse quotidienne et audiovisuelle ; multiplication de faits de censure ; consanguinité de plus en plus accentuée et malsaine entre les milieux d’affaires et les médias ; verrouillage de l’information sur de nombreux médias audiovisuels, à commencer par l’audiovisuel public : la France vit une grave régression démocratique ! C'est presque le retour à la presse de l'avant-guerre, celle du Comité des forges.

     

    Médiapart se réveille ( Pour abonnés seulement )...


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  • Divergence entre les modèles numériques et les observations

    D'autre part, on constate que la '"sensibilité climatique" au CO2, évaluée dans les publications successives, s'amenuise, année après année, ceci en contradiction flagrante avec l'alarmisme actuel.
    ...Ce qui ne semble guère préoccuper les médias qui poursuivent leur intense campagne d'"information", comme nous le verrons plus bas.

    Comme le savent les lecteurs(trices) de ce site, la quasi-totalité des mesures envisagées par les politiques en matière de climat et notamment celles qui seront discutées lors de la prochaine conférence COP21 à Paris, reposent fondamentalement sur les prédictions des modèles numériques du climat. S'il est exact que la prévision reste l'un des objectifs fondamentaux de la science, encore faut-il s'assurer que ces prévisions sont robustes et fiables avant de prendre des décisions lourdes de conséquences. Ce billet, tout comme nombre de ceux qui le précèdent et qui figurent ci-dessous, montre qu'il est légitime d'avoir quelques sérieux doutes à ce sujet.

     

    Lire l'article sur Pensée Unique


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  • L'information est totalement libre, en Europe, c'est évident.

    La démocratie est totale...

    https://fr.news.yahoo.com/%C3%A9quipe-consacr%C3%A9e-%C3%A0-contrer-propagande-russe-au-sein-144219448.html

    Et la marmotte plie le chocolat dans le papier alu...


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  • Le chant des Anges?


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  • Nous l'avons vu, le maximum solaire de l'année dernière a engendré la première hausse de la mortalité routière depuis... Le dernier maximum solaire.

    Coïncidence, diront les scientistes. Pourtant, les études de l'influence de l'activité solaire sur le coeur, le sang, le cerveau et tout le corps humain existent.

    Mais cette société roule à contre-sens, nous le savons.

     

    Aussi, la répression absolue a montré ses limites. En réponse, le gouvernement renforce la répression. C'est fantastique, non?

    http://www.lepoint.fr/automobile/securite/radars-la-frenesie-des-flashs-a-tout-va-29-08-2015-1960184_657.php#xtor=CS1-31

    (24 pv à la minute, par les radars automatiques, BINGOOOOOOO!.... )

    Mais la vache à lait qu'est le conducteur est avant tout un veau et le restera.

    Des solutions existent, mais je n'ai même pas le droit de les énoncer. Comme cela toucherait aux intérêts de l'Etat ( qui n'a absolument plus rien à voir avec le peuple ), ce serait une incitation au terrorisme.

    La boucle est bouclée.

     

    A contre-sens, à fond la caisse.

     

    Les yeux fermés.

     


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  • En 1989, j'entrais dans la télématique.

    Sur minitel, tout un groupe de jeunes se faisait passer pour des femmes et ainsi faire rester les hommes en ligne. A 3,65 francs la minute, j'en ai connu avec des factures de 80 000 francs au bout de deux mois.

    Même si je ne travaillais pas normalement, j'ai été complice de toute cette arnaque.

     

    C'est en voulant bouger les choses que je me suis fait détruire, à 21 ans.

     

    Je ne suis pas surpris de voir que 25 ans plus tard, rien n'a changé.

     

    http://www.lepoint.fr/societe/ashley-madison-20-millions-d-hommes-pour-1-492-femmes-28-08-2015-1959864_23.php


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  • Le neurologue Steven Laureys dirige le Science Coma Group à l’université et au CHU de Liège, en Belgique. Il s’intéresse aux expériences de mort imminente.

     

    Vous avez ouvert une fenêtre sur la mort…
    La conscience humaine, avec l'origine du monde et l'origine de la matière, est l'une des plus grandes énigmes scientifiques. Comme l'étude des rêves nous a permis d'apprendre que le cerveau avait des niveaux d'activité variables selon les phases de sommeil, les expériences de mort imminente (EMI) vécues par des patients constituent des fenêtres sur nos derniers instants, à l'orée de la mort. Ces récits nous offrent l'opportunité d'étudier cette chose fondamentale : la conscience, l'âme.

    Pourquoi la médecine ne s'intéresse-t-elle que depuis peu à ce phénomène?
    Pendant longtemps, elle ne l'a pas pris au sérieux alors qu'il suscite un grand intérêt de la part du public. Parce qu'il touche aux croyances, il est demeuré tabou. En tant que scientifique, neurologue et clinicien, j'ai voulu m'en approcher sans arrogance. Beaucoup de livres sur le sujet étaient factuellement faux. Ainsi, on ne "revient" pas de la mort. La mort cérébrale, c'est la mort! Les expériences de mort imminente ne sont donc pas une preuve de vie après la mort. Mais elles constituent une piste pour étudier ce qui se passe juste avant la mort cérébrale.

    Comment étudier ce moment fugace?
    Avec les 30 chercheurs du Coma Science Group, nous nous intéressons à l'émergence de la conscience, en étudiant par exemple la façon dont des lésions cérébrales altèrent nos perceptions et nos pensées, grâce à des outils d'imagerie comme la résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) qui montre le cerveau en activité. Dans notre équipe, trois doctorants se consacrent à plein temps à l'étude des expériences de mort imminente. Notre premier but est de recueillir des témoignages. Grâce à un appel à témoins, nous en avons déjà étudié plus de 300. Mais nous recherchons encore des volontaires pour mieux documenter ces souvenirs*. Un patient sur dix qui survit à un arrêt cardiaque vit une EMI. Celle-ci se produit aussi chez des victimes de trauma crânien ou face à un danger de mort. Mais dans 20% des cas, elle a lieu chez des personnes dont la vie n'était pas menacée : pendant le sommeil, une méditation, une crise d'épilepsie ou de migraine, voire pendant un orgasme!

    Qu'éprouve-t-on lors d'une expérience de mort imminente?
    Nous avons établi un "top 10" des éléments qu'ils citent le plus souvent. Neuf témoins sur dix évoquent une sensation de bien-être intense ; la plupart relatent la vision d'une lumière douce ou vive ; huit patients sur dix vivent une "sortie de corps" ; trois sur dix voient défiler le film de leur vie. D'autres ressentent une présence, celle d'un être cher ou de la Vierge Marie! Si l'on retrouve ce phénomène dans toutes les cultures, des variantes existent. Dans le monde judéo-chrétien, les patients parlent souvent d'une lumière au bout d'un tunnel. En Inde, c'est une rivière. Dans le monde musulman, une porte… Pour mieux comprendre ce vécu subjectif, nous décryptons ces récits avec des neuropsychologues, à l'aide de questionnaires solides sur les caractéristiques de la mémoire. Nous démontrons que ce ne sont pas des mémoires ­imaginées.

    La science a-t-elle pu confirmer le phénomène de "sortie de corps"?
    Des études sont menées pour savoir si les visions décrites par les patients correspondent à ce qui se passe dans la réalité pendant leur coma : certains relatent des vues surplombantes de la chambre d'hôpital, avec parfois la possibilité de traverser les murs, de se déplacer… En Grande-Bretagne, l'équipe du Dr Parnia a placé des objets en haut d'armoires dans les salles de réanimation où séjournent des malades en arrêt cardiaque. À chaque survivant, on demande s'il peut décrire ces objets. À ce jour, aucun témoignage ne l'a confirmé. En revanche, on sait que l'on peut provoquer en labo la sensation de décorporation en stimulant des zones du cerveau, dans le cortex temporo-pariétal droit. Notre objectif est d'accroître notre connaissance du fonctionnement cérébral résiduel des patients qui survivent à une atteinte sévère du cerveau, afin d'améliorer leur prise en charge. Et peut-être, un jour, percer le mystère de la conscience.

    * Contact : coma@ulg.ac.be

    Juliette Demey - Le Journal du Dimanche


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  • Du plancton fossile malformé vieux de 415 millions d'années révèle une forme de pollution par métaux lourds qui pourrait avoir contribué à certains des plus grands évènements d'extinction dans l'histoire de la Terre. Ces travaux menés par le laboratoire Évolution, écologie, paléontologie (CNRS/Université de Lille), en collaboration avec des collègues américains et allemands1, sont publiés dans la revue Nature Communications le 25 août 2015.

    Plusieurs événements d'extinction de masse du Paléozoïque2 ont façonné l'évolution de la vie sur notre planète. Bien que certaines de ces crises, dont les extinctions de l'Ordovicien et du Silurien (il y a environ 485 à 420 millions d'années), aient été responsables de l'éradication de 85% des espèces marines, les mécanismes responsables de ces crises restent mal compris.

    Des paléontologues ont observé la présence élevée de phyto- et zooplanctons fossiles malformés, dits tératologiques, dans des couches sédimentaires datant de l'Ordovicien-Silurien et correspondant aux étapes initiales des événements d'extinction. Ces organismes anormaux se retrouvant dans de nombreux dépôts, aussi bien en Suède, qu'au Canada ou en Libye, les chercheurs se sont interrogés sur les origines de ces malformations.

    Les effets tératologiques de la pollution aux métaux lourds sur le plancton actuel sont bien établis : ces toxines provoquent des anomalies morphologiques chez les organismes aquatiques et la présence d'individus malformés sert habituellement d'outil pour détecter une contamination. Les chercheurs ont donc mesuré les concentrations en métaux dans certains des spécimens fossiles ainsi que dans les roches qui les entourent, pour un des événements du Silurien. Leurs résultats montrent que ce plancton ancien contient des niveaux élevés de métaux lourds, tels que le fer, le plomb et l'arsenic. Les abondances des différents éléments dans les fossiles et dans les roches, combinées avec la forte présence de formes tératologiques, suggèrent que les métaux ont été absorbés par les organismes lorsqu'ils étaient vivants et se sont en même temps déposés dans les sédiments alentour. Un empoisonnement par métaux lourds semble donc être la cause des malformations observées dans le microplancton. Les corrélations récurrentes entre l'apparition de ces organismes malformés et les événements d'extinction durant les périodes de l'Ordovicien et  du Silurien pourraient indiquer que la contamination par des métaux toxiques est un facteur, jusqu'ici insoupçonné, ayant contribué aux phénomènes d'extinction dans les océans anciens.

    Des changements observés dans les rapports isotopiques3 pour le carbone, l'oxygène et le soufre suggèrent qu'aux mêmes périodes la concentration en oxygène diminue dans les couches profondes de l'océan. Le scenario pourrait donc être le suivant : l'anoxie4 des eaux favorisant la solubilité de certains éléments et entrainant des changements dans les cycles chimiques, les concentrations en métaux y augmentent. Ces eaux profondes pauvres en oxygène et riches en métaux remontent ensuite à la surface. Là, elles se mélangent aux eaux du plateau continental qui accueillent un écosystème très riche, entrainant l'extinction de nombreuses espèces et une pollution des sédiments. La toxicité due aux métaux semble ainsi constituer le “chaînon manquant” qui relie les extinctions en masse des organismes marins à l'anoxie généralisée de l'océan profond. L'existence des fossiles de plancton malformé, indicateurs de cette pollution métallique, pourrait donc fournir un nouvel outil pour identifier les phases précoces de ces crises catastrophiques dans les archives géologiques.


    Plancton fossile malformé

    © Thijs Vandenbroucke

    Spécimen malformé de chitinozoaire, un fossile de micro-zooplancton du Silurien du genre Margachitina.




    Notes :

    1 De l'US Geological Survey et de l'université d'Erlangen.

    2 Ère géologique qui s'étend de -541 à -252 millions d'années.

    3 Mesure du rapport entre deux isotopes d'un élément. Un même élément a plusieurs isotopes, différant par leur nombre de neutrons mais ayant le même nombre de protons et d'électrons et possédant les mêmes propriétés chimiques. Ce rapport varie selon les conditions locales et permets d'étudier les changements sur des périodes plus ou moins longues.

    4 Diminution de l'oxygène dissous ou présent dans le milieu.

     

    Source : CNRS


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  • La «Dust Lady» du 11-Septembre n'est plus

     

    http://www.tdg.ch/monde/ameriques/La-Dust-Lady-du-11-Septembre-nest-plus/story/13767142

     

    Non, le coup d'état du 11 Septembre 2001 n'a pas fait un peu moins de 3000 victimes, mais beaucoup plus.

    En plus de l'amiante ( on notera qu'au lieu de procéder au désiamiantage des deux tours qui aurait coûté des centaines de millions de dollars, le propriétaire à touché 2x7,5 milliards de dollars - si ma mémoire est bonne, pour les "attentats" ), la poussière contenait nombre de métaux lourds et autres poisons.

    Bien entendu, il n'y aura aucune étude, aucune statistique, donc, le problème n'existe plus.

    Comme pour le scandale de l'amiante en France, ou de la vache folle, on ne parle plus des morts qui surviennent chaque jour, depuis.

     

    En Occident, les tapis sont larges, longs, et il y a des gouffres, dessous, pour enterrer les morts.


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